rencontre avec Clément Belin samedi 24 mars, de 15h à 18h

Samedi 24 mars 2012
de 15h à 18h

La librairie La Carline 
reçoit Clément Belin 
pour 
Au nom du fils 
dont le 2ème tome vient de sortir chez Futuropolis.




Pour son deuxième livre de bande dessinée, Clément Belin s’est associé à Serge Perrotin pour le récit juste et poignant d’un homme simple qui part à la recherche de son fils enlevé par les FARC en Colombie.
Au-delà de l’exotisme, Au nom du fils est une formidable aventure humaine, qui voit son principal protagoniste transcendé par les circonstances exceptionnelles qu’il est amené à vivre.














Au nom du fils




Michel Garandeau est ouvrier aux chantiers navals. Pendant une pause déjeuner, il apprend que son fils Étienne a été enlevé, alors qu’il voyageait en Colombie. Les autorités tant françaises que colombiennes ont tellement l’air de patauger qu’il décide de se rendre lui-même sur place, sur le site précolombien de Cindat Perdida, au cœur de la Sierra Nevada. Lui que ne parle pas espagnol, n’a même jamais pris l’avion : une seule chose lui importe, il veut retrouver son fils !


Dans le journal de bord, qu’il tient pour sa femme, il consigne ses rencontres, avec tous ceux qui ont croisé plus ou moins brièvement, le chemin d’Étienne. Et c’est aussi l’évolution de ses sentiments à l’égard de son fils qui s’y inscrivent. Colère, révolte, incompréhension, perplexité, culpabilité, respect, autant d’émotions exacerbées par la rupture d’avec son quotidien, l’éloignement, sa solitude de voyageur. 


De la ville étouffante à la forêt menaçante, Michel avance malgré le doute et la peur, car grâce aux signes de vie qu’il collecte, il reste plus déterminé que jamais à ne pas quitter la Colombie, à ne pas abandonner son fils… 




Clément Belin est né à Lens en 1977. Il s'est installé à proximité de Forcalquier depuis  un an, après avoir habité principalement à Marseille. Auteur de Bd, Clément Belin est également officier de marine marchande. Il parcourt le monde sur de nombreux bateaux, pétroliers ou navires de soutage. De son propre aveu, sa plus belle expérience reste le cabotage de vrac sur la côte ouest africaine sur un tout petit cargo dédié au transport de riz.
Passionné de bande dessinée, il se lance en 2003 dans l’adaptation du roman d’Izzo, Les Marins perdus, son premier livre.







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